Ce qui aurait été différent, c'est que tout aurait été contractualisé et préfinancé. La CCR recevant 300 millions d'euros tous les ans pour couvrir le risque, ce n'est qu'à l'épuisement de ses provisions que l'État aurait dû lui verser de l'argent. Un préfinancement aurait permis aux entreprises de faire face au pic de la crise. La contractualisation et le préfinancement sont les deux avantages majeurs d'un tel système assurantiel.