Nous débattons depuis le début de la crise du comportement des assureurs et de leur contribution.
La taxe de 2 % proposée par le Sénat ne s'appliquerait qu'en 2020. Les prévisions tablent sur une probable baisse de la sinistralité. Mais nous n'avons pas d'éléments chiffrés. Je regrette, comme notre collègue Émilie Cariou, que nous ne disposions pas d'un rapport faisant un état des lieux précis.
Notre démarche doit amener les assureurs et les fédérations d'assurance à contribuer de manière claire, précise et transparente, ce qui n'est pas tout à fait le cas aujourd'hui.