Nous ne visons pas seulement le secteur de l'assurance. Le e-commerce figure en effet parmi les acteurs qui tirent profit de la crise.
En 2020, le chiffre d'affaires d'Amazon a progressé de 40 %, et ses bénéfices ont doublé. Les amendements que nous avons déposés sont proportionnés et ne ruineraient pas cette entreprise qui, par ailleurs, ruine l'emploi.
Aucun argument ne nous est véritablement opposé au sujet de la taxation que nous proposons.