Il y a un problème de cohérence entre votre proposition, très intéressante pour les éleveurs de chiots et de chatons, et cet article qui fait une différence entre les chevaux qui finiront à la boucherie et ceux qui continueront à être utilisés pour d'autres activités. Le principe de l'article adopté par le Sénat est qu'on ne peut pas savoir au départ quelle sera la destinée d'un poulain. La question ne se pose pas pour les chiots et les chatons : en France, ils ne finissent pas dans une boucherie, et c'est heureux. Cet article n'a donc pas s'appliquer à leur cas. Avis défavorable.