Ma proposition de porter le seuil de 250 à 500 kilowatts concerne aussi le secteur agricole, qui est inquiet. C'est exact, 250 kilowatts correspondent à des installations conséquentes et les agriculteurs qui ont pu investir dans une telle puissance ne sont pas si nombreux. Une autre inquiétude, que nous devrions tenter d'apaiser, concerne les conséquences de la révision des contrats par l'État sur les contrats que les agriculteurs ont eux-mêmes souscrits pour la construction de bâtiments et l'installation de panneaux.