Ma première question porte sur les inquiétudes de la ruralité. Vous annoncez un déficit structurel qui va perdurer, ce qui peut paraître normal compte tenu de vos missions de service public. Vous avez évoqué une étude sur les missions, les services et les modes de compensation. Nous savons que les négociations porteront ensuite sur des économies de coûts. Or à chaque fois, nous avons l'impression que la ruralité est la première victime de ces économies, alors que le besoin de proximité est grand. Que pouvez-vous nous dire pour rassurer la ruralité par rapport aux réformes et aux modifications de missions annoncées ?
Par ailleurs, au moment du premier confinement, la ruralité a connu des problèmes d'accès et de fermeture de bureaux. Êtes-vous prêts à un nouveau confinement ?
Enfin, vous étiez partie prenante des maisons de services au public (MSAP). Que changent-elles par rapport à vos objectifs ? Comment articulez-vous votre activité avec les maisons France Services ?