Ce métier d'assurance-crédit requiert une certaine solidité, comme en témoignent ces primes très faibles par rapport à qu'elles devraient être. Comment assurez-vous cette solidité ? Tient-elle à votre appartenance à des groupes, à vos ratios prudentiels ?
Par ailleurs, qu'en a-t-il été de l'évolution de la sinistralité du crédit inter-entreprises durant la crise ? À cet égard, vous êtes en quelque sorte un observatoire privilégié…Que disent les données dont vous disposez sur les évolutions par secteurs ou par territoires ?
En outre, pouvez-vous détailler un peu votre travail avec la CCR ? Quelle pourra être l'évolution des dispositifs ? Ne conviendrait-il pas de les prolonger, y compris au-delà de la réponse à la crise ?
Et qu'en est-il du rôle de Bpifrance, qui a, en quelque sorte, pris, pour partie, la relève de « l'ancienne Coface » qui était publique. En matière d'assurance-crédit « ligne à ligne » à l'export, comment travaillez-vous avec les pouvoirs publics ?
Enfin comment consolider notre modèle par rapport aux autres ? Quelles comparaisons pouvez-vous faire ?