Je reviens sur le paradoxe évoqué par monsieur Tavernier concernant la diminution du nombre de dossiers de surendettement et l'augmentation de la pauvreté. Pouvez-vous caractériser ce qui est à l'œuvre dans ce phénomène ? Quelle population se trouve aujourd'hui en décrochage ?
D'un point de vue plus macroéconomique, la situation économique et les plans de relance à venir ne risquent-ils pas de susciter une remontée rapide du taux d'intérêt ?