D'après le rapport d'étape de Benoît Cœuré, la dette sociale des entreprises s'élève à 21,4 milliards d'euros. Le chiffre de 18 milliards que vous avancez en serait-il une version mise à jour ?
Dans ces 18 milliards d'euros, combien représente le report des échéances dues à l'URSSAF depuis plus de douze mois, et le report des échéances des entreprises de moins de 250 salariés ?
S'agissant des aides au paiement des cotisations sociales dans la limite de 20 % des revenus d'activité, quelle est leur durée de validité ?
Par ailleurs, des primes exceptionnelles ont été versées aux « permittents », qui enchaînent les contrats courts et les périodes de chômage. De nombreux parlementaires ont appelé l'attention sur leur situation. Quel bilan peut-on en tirer ?