Concernant le Stade de France, dès 2018, nous avons commandé une étude pour déterminer les conditions d'exploitation de l'enceinte après 2025. Trois scénarios ont été proposés dans cette étude : la vente du stade, le renouvellement du schéma actuel (concession directe à un concessionnaire distinct des fédérations) et une autorisation d'occupation temporaire, qui serait gérée par les fédérations françaises de football et de rugby, éventuellement associées à un spécialiste de la gestion des stades.
À ce jour, il est acté que la concession actuelle ne sera pas prolongée à l'issue de 2025. L'équipe projet, animée par la délégation interministérielle aux jeux Olympiques et Paralympiques (DIJOP) et constituée en octobre 2020, étudie encore les différentes options, avec l'objectif de lancer la mise en concurrence en 2022 pour la nouvelle exploitation de cession ou d'occupation temporaire.
Sur le Pass Sport, le Président de la République a effectué un arbitrage, en assurant que les aides seraient à la hauteur de la demande et des besoins. Nous espérons que les collectivités, les fédérations et leurs partenaires commerciaux viendront abonder cette aide de 50 euros, dont bénéficiera un enfant sur deux.
S'agissant des aides aux associations non employeuses, nous nous félicitons de ce que la crise ait permis de nouer un contact nouveau avec les services de l'État, que nous voulons plus proches des clubs et des collectivités, en lien avec le déploiement de nos dispositifs dans les territoires. Nous travaillons à une simplification du Compte Asso, afin que le plus grand nombre d'associations sportives s'en saisissent.