Comme tous les secteurs d'activité, nous avons pour l'heure très peu de recul sur l'impact du télétravail. Néanmoins, il est très clair que le travail à distance généralisé peut entraîner de nouvelles maladies, notamment des troubles musculo-squelettiques, ce qui peut avoir un impact sur les dépenses de santé, mais c'est encore impossible à estimer. S'il devait s'installer de manière pérenne, ce que nous pensons, il y aura un impact, à notre avis favorable, sur les relations de travail et sur l'absentéisme.
Lors de la deuxième vague de lois prises pour faire face à la crise sanitaire, le secteur purement assurantiel a été considéré comme une activité essentielle ; nous avons donc pu maintenir notre activité comme nous l'avions fait lors du premier confinement. Nous n'avons ainsi pas de retard de versement de prestations à déplorer.