Effectivement, certaines dépenses annoncées ne se retrouvent pour l'instant pas dans le budget, notamment le plan d'investissement, le revenu d'engagement pour les jeunes, le plan pour Marseille, la création d'une assurance récolte pour les agriculteurs victimes de catastrophes climatiques à hauteur de 600 millions d'euros, la dotation pour compenser le déficit de La Poste et la réparation pour les harkis. Cela modifie évidemment le déficit public.
Nous proposons donc de passer de - 4,8 % à - 6,2 % du PIB.