Vos amendements concernent en réalité médecins hospitaliers et médecins de ville. La lutte contre la désertification médicale doit être une priorité, nous sommes d'accord, mais l'exonération d'impôt sur le revenu n'est pas le bon outil.
Nous disposons déjà d'incitations : la prime, pouvant aller jusqu'à 50 000 euros pour l'installation ; la bonification des honoraires ; les aides d'État qui reposent sur des mécanismes de garantie financière ou des bourses d'études.