Nous en avons déjà débattu au cours des précédents PLF, mais aussi lors de l'examen du projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets. Nous avons fait le choix – et nous l'assumons – de ne pas mettre en place un tel dispositif car il pourrait impliquer une hausse d'impôts non négligeable, et donc une perte de pouvoir d'achat importante, pour les salariés qui utilisent leur véhicule tous les jours. Nous avons préféré une mesure incitative par voie réglementaire – une majoration de 20 % pour les véhicules électriques. Nous proposons de ne plus modifier le dispositif, c'est pourquoi mon avis sera défavorable.