L'évolution du niveau de vie se calcule en pourcentage et non en valeur : l'étude publiée hier par Les Échos le démontre assez bien. Si l'on cumule les mesures fiscales ou budgétaires du quinquennat – car, outre la fiscalité, il faut prendre en compte le chèque énergie, par exemple, qui représente 100 euros supplémentaires pour les ménages les plus modestes –, aucune catégorie n'est sacrifiée au regard de la hausse du niveau de vie ! C'est une donnée objective ; je ne fais pas, ici, de politique politicienne. Les mesures votées par notre commission depuis quatre ans et demi bénéficient en priorité aux classes que l'on appelle modestes ou moyennes, en particulier à ceux qui travaillent.