Le choix politique entre suramortissement, d'une part, et aides directes à l'investissement, d'autre part, fait l'objet d'un débat. Le suramortissement est un outil pertinent, en particulier dans un contexte de reprise économique, mais nous avons opté pour un accompagnement de l'investissement par la subvention, notamment dans le cadre du plan de relance et des fonds sectoriels. C'est pourquoi mon avis est défavorable.