Nous avons mis 200 millions d'euros sur la table pour aider les exploitants qui avaient souffert du gel. C'est notre réponse. Je ne suis pas certain que les exploitants attendent de nous que nous réformions en profondeur le dispositif de l'épargne de précaution. Il me semble préférable de continuer à les accompagner de manière structurelle grâce à la nouvelle DEP, qui donne de meilleurs résultats que l'ancienne DPA (déduction pour aléas), tout en étant capables de les indemniser le plus vite possible lorsqu'ils sont victimes d'aléas climatiques.