Nul ne remet en cause la nécessité d'une indemnisation juste et pérenne des traitements subis par les forces supplétives et leurs familles. Toutefois, la directrice générale de l'ONACVG m'a fait part de la bonne situation de la trésorerie de l'Office. Celle-ci n'appelle pas une attention particulière, et le prélèvement d'un million d'euros ne remettra pas en cause la soutenabilité des missions de solidarité de l'ONACVG.
En outre, j'estime que cette somme pourrait être mieux utilisée autrement, par exemple en faveur de l'Œuvre nationale du Bleuet de France, qui a subi des pertes de cet ordre lors de la crise sanitaire. Je présenterai un amendement en ce sens.
J'émets donc un avis défavorable.