Ce plan en faveur de la diversification des cultures protéiniques végétales, en particulier le lin, mobilisera 38 millions d'euros. Il permettra de réduire la dépendance de la France aux importations de protéines végétales, d'améliorer l'autonomie des éleveurs pour l'alimentation de leurs animaux, d'augmenter la part de protéines végétales dans l'alimentation des Français et de lutter contre la déforestation importée. Je vous invite à interroger le Gouvernement en séance sur la répartition de ces crédits au profit de chaque culture.