Ce sont effectivement des régimes éteints : il n'y a plus d'actifs, et il ne reste plus que des retraités. L'écart se creuse donc.
Il me paraît délicat de me positionner sur la question des régimes spéciaux, mais je comprends votre interrogation.
Si nous arrivions à assurer un minimum de 1 000 euros pour chaque retraité, cela serait déjà un bon début. Nous avons déjà fait du bon travail, à l'unanimité, pour les retraités agricoles – les chefs d'exploitation à carrière complète ou les conjoints collaborateurs.