Ce n'est pas sympa ! Sur ce point particulier, monsieur Vuilletet, vous auriez pu laisser la commission se prononcer en toute sagesse, ou, à tout le moins, nous dire que vous alliez nous soutenir en séance publique. Nous n'ignorons pas ce que LADOM a accompli, mais nous savons aussi que nos jeunes, une fois partis, ne reviennent pas – si ce n'est, peut-être, deux sur dix. Les associations en question font un travail remarquable. J'ai discuté de ce sujet précis avec le ministère. J'espère que nous aurons un débat valable en séance.