Depuis la rentrée 2018, il y a eu dans le second degré 73 212 élèves en plus et 771 postes de professeur d'éducation physique et sportive (EPS) en moins. Or on observe outre-mer une véritable épidémie d'obésité et de diabète, qui crée des comorbidités extrêmement dangereuses dans le contexte de la crise sanitaire. C'est pourquoi il faut consolider le service public de l'éducation physique et sportive.