Madame Panot, il s'agit aussi de maintenir une activité pour les buralistes qui pâtissent du recul du nombre de fumeurs et connaissent, de ce fait, une baisse de leur chiffre d'affaires. Cela permet de conserver des commerces dans nos territoires. En outre, cela évite aux services publics, notamment aux collectivités locales, de manipuler trop d'espèces. Quand des adjoints ou des conseillers municipaux, voire des employés municipaux, doivent effectuer des transferts de liquidités vers les centres des finances publiques, les conditions de sécurité ne sont pas optimales…