Cet amendement devrait satisfaire l'ensemble des députés puisqu'il propose d'alléger les sanctions prévues en cas de violation de l'obligation de secret professionnel. Le barème applicable aux agents de la DGFiP avait été étendu aux collecteurs. Sans remettre en cause la préservation de la vie privée des salariés, il s'agit de proposer une sanction qui relève du droit commun.
Pour éviter toute ambiguïté et conserver l'intention initiale du législateur, le sous-amendement précise expressément que les sanctions s'appliquent à la violation de l'obligation de secret professionnel et à un usage détourné du taux d'imposition.