Vous dites, monsieur le ministre, que le remboursement de la dette est une obligation et que les recettes supplémentaires seront consacrées à la résorption du déficit. Or, contrairement à ce que préconisait le Haut Conseil des finances publiques, il semble que le surcroît de recettes attendu ne soit pas consacré au désendettement mais absorbé par la hausse des dépenses ou la baisse des prélèvements obligatoires.
Concernant l'indemnité inflation, pouvez-vous confirmer que l'Agence de services et de paiement – ASP – ne sera pas mise à contribution pour organiser le paiement ?
Comment cela se passera-t-il pour les personnes qui cumulent de nombreux employeurs ?
Quant au prêt garanti par l'État – PGE –, vous évoquez une annulation à hauteur de 700 millions du fait de la sous-consommation des appels à garantie. Est-ce un report ?