Il s'agit de reprendre le même modèle que pour les installations éoliennes : en la matière, 20 % de l'IFER revient automatiquement aux communes. Le risque est que l'EPCI décide de tout garder et que les petites communes rurales n'en bénéficient pas. Ce sont quand même les communes d'implantation qui subissent d'éventuelles nuisances, sur le plan paysager, et ce sont les maires qui s'engagent dans cette voie que je crois utile et nécessaire. Il ne faudrait pas que les communes aient seulement les inconvénients…