Nous vivons dans un état exorbitant du droit commun et même l'accès aux plages est d'une complexité sans nom ! Vous nous répondez que cela relève du Premier ministre. Mais c'est habituellement, pour l'essentiel, de la responsabilité des maires : ils sont donc dépossédés d'une partie de leurs pouvoirs. C'est pourquoi la prolongation de l'état d'urgence ne doit pas être trop longue. Un rendez-vous mensuel serait une bonne idée !