L'exemple de Singapour montre que de telles applications ne servent pas à grand-chose, notamment pour les personnes âgées qui constituent pourtant une population à risque.
La méthode choisie aura-t-elle par conséquent une quelconque efficacité ? N'existe-t-il pas une disproportion entre le gain escompté en matière de maîtrise de la pandémie et les atteintes potentielles à la vie privée, sachant que nous avons voté un traçage manuel dans le cadre de la loi de prorogation de l'état d'urgence sanitaire et que l'application s'apparente à une localisation déguisée des personnes concernées ?