Je remercie la rapporteure d'accepter l'idée qu'un débat au Parlement est incontournable quand il est question de libertés publiques : c'est l'objet de ces amendements. M. Vuilletet ne propose de réduire que de dix jours la durée envisagée par le Gouvernement. On discute un peu du sexe des anges… Si le 1er octobre est peut-être une date un peu trop proche pour des raisons techniques, notamment légistiques, pourquoi ne pas retenir le 10 octobre ? Cela nous paraît possible et bien plus respectueux des libertés publiques.