Il s'agit de supprimer l'alinéa 3.
Ce texte organise la fin de l'état d'urgence à compter du 10 juillet prochain. À condition que les gestes barrière, y compris le port du masque, soient bien respectés par les usagers, les institutions publiques, les établissements recevant du public et les lieux de réunion pourront fonctionner comme avant. La liberté de culte est un droit fondamental qui ne peut plus continuer à être entravé. De même, les lieux culturels qui attirent du tourisme durant la période estivale doivent reprendre leurs activités, tout comme le secteur de l'événementiel, avec les intermittents et toutes les activités qui en dépendent.
Il ne faut pas que l'exception devienne la règle. Ce qui était du domaine de l'état d'urgence sanitaire ne doit pas devenir la loi.