Monsieur Gosselin, monsieur Schellenberger, je comprends qu'étant dans l'opposition, vous souhaitiez vous opposer, mais cela vous conduit à faire preuve d'une incroyable mauvaise foi. D'un côté, vous nous reprochez de limiter les libertés publiques ; de l'autre, vous vous offusquez qu'on laisse se tenir des rassemblements familiaux spontanés. Lorsque ma famille se réunit, nous sommes 250, et il arrive qu'une trentaine d'anciens partent se promener ensemble sur la voie publique. On ne va tout de même pas interdire ce type de rassemblements ! Votre volonté de vous opposer systématiquement au texte vous conduit à dire n'importe quoi, et c'est fort regrettable.