Ces deux amendements n'ont pas exactement la même portée.
Nous considérons que des personnes condamnées pour de tels faits ne doivent pouvoir accéder à aucun emploi public.
Par ailleurs, un certain nombre de missions sensibles de surveillance ou de sécurité, par exemple sur des sites classés SEVESO, relèvent d'emplois privés et de telles personnes ne doivent pas pouvoir y prétendre non plus.