Je vous remercie, monsieur le Défenseur des droits. Dans ma vie antérieure, au moment de votre nomination en 2014, je m'occupais de l'accès au droit et à la justice pour les plus démunis, sur le terrain. Il n'y a pas d'état de droit là où il y a des sans-droits. Telle est ma conviction. Je vous rejoins donc pleinement, c'est un combat que nous devons tous embrasser.