Je comprends que dans une enceinte parlementaire le sujet puisse intéresser… Pour l'instant, le Président de la République et le Premier ministre ne nous ont pas demandé de travailler sur un changement du mode de scrutin dans quelque élection que ce soit.
En guise de conclusion, je voudrais citer des grands auteurs, en l'occurrence le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, qui rappelait, le 15 février dernier, cette phrase de l'historienne Mona Ozouf : « L'ensauvagement du langage annonce, prépare et fabrique l'ensauvagement des actes. » Je ne saurais mieux terminer cette audition.