Il me semble difficile de requalifier cette expérimentation en gestion de troubles de la voie publique. Elle a un sens beaucoup plus profond. Nous devons nous réinterroger sur les exclusions des mineurs et des personnes qui ne peuvent présenter de pièces d'identité. Sera-t-il possible de disposer de chiffres précis, notamment sur les contestations, ainsi que de chiffres territorialisés ?