Vous avez tout à fait raison, monsieur Aubert. Considérons les choses dans l'ordre. Il est possible que nous ayons un léger désaccord de principe, mais peut-être notre débat traduit-il également une certaine incompréhension. Ce n'est pas votre cas, monsieur Le Fur ; je vous connais bien, je sais que vos arguments sont avant tout de nature politique, ce qui n'est évidemment pas condamnable, mais nous conduit à consacrer beaucoup de temps à l'examen de vos nombreux amendements. Permettez-moi de revenir aux principes. Nous ne détestons pas l'immobilier, mais nous avons des conceptions très différentes des vôtres – vous n'avez d'ailleurs pas toujours eu la même position.