Ces deux amendements visent à permettre aux agents de sécurité privée d'assurer la surveillance des détenus hospitalisés ainsi que la gestion et la conservation des scellés judiciaires. L'objectif est de dégager des moyens et du temps pour la police et la gendarmerie nationales en optimisant les ressources humaines, parce que ces missions sont chronophages. Pour citer un exemple, l'hôpital qui accueille l'auteur des attentats commis la semaine dernière à Nice mobilise énormément de moyens de sécurité pour protéger l'assaillant, le personnel et l'hôpital lui-même.