Je suis désolé, monsieur le ministre, mais vous ne m'avez pas convaincu.
D'abord, il ne faut pas confondre les principes et le dogmatisme : on peut avoir des principes, y être attaché, sans être pour autant dogmatique – surtout s'agissant de la loi.
Ensuite, je suis bien moins expérimenté que beaucoup ici sur le sujet, mais je ne vois pas ce que la responsabilité pénale apporterait à la protection de l'enfance. La responsabilité pénale se justifie principalement par la sanction.