Nous devons prendre nos responsabilités, car je ne suis pas certain que les mineurs aient tellement changé. Nous si, pas mal, et pas forcément pour le meilleur.
Vous faites de votre exemple une sorte de bouclier que vous brandissez, et qui prouverait l'impunité de l'enfant, qu'il revendique parce qu'il a compris et parce qu'il se professionnalise. Mais le gamin qui se fait gauler dit « je suis mineur », justement parce que c'est un enfant et qu'il se défend comme un enfant, qu'il soit devant le juge, un policier ou son instituteur dans la cour de récréation.