Je remarque que lorsqu'il s'agit de faire de la visioconférence dans le cadre de prolongations de garde à vue, on est très allant. En revanche, lorsqu'il s'agit de filmer pour se donner des garanties quant à la procédure – et je rejoins les arguments de notre collègue Balanant –, on nous répond que l'état actuel du droit est suffisant. Je ne sais pas s'il y a des complots, je ne suis pas expert comme vous, monsieur le ministre...