Il s'agit effectivement là d'un nouveau sujet, madame Untermaier, et vous avez bien compris que mes propos, tout à l'heure, ne vous étaient pas destinés.
Monsieur Bernalicis, quand on a dit quinze fois les choses, on peut être, à un certain moment, un peu ulcéré. Naturellement, vous avez la liberté de dire ce que vous voulez, et je n'entends pas vous contraindre, de quelque façon que ce soit, monsieur le député, mais, moi aussi, j'ai le droit de dire ce que je pense, et je n'ai pas l'intention de m'en priver.
Je suis défavorable aux amendements.