Cet amendement vise à ce que toute décision de confinement ou de couvre-feu national d'au moins dix heures consécutives prise par l'exécutif ne puisse être appliquée sans être expressément mentionnée dans le décret déclarant l'état d'urgence sanitaire, et à ce que la prolongation de ce confinement ne puisse être autorisée sans l'assentiment du Parlement. Les restrictions de liberté qu'impose une telle mesure doivent en effet être pleinement débattues et validées devant la représentation nationale. Elles n'en auraient que plus de poids.