Je retire l'amendement 42 rectifié, tout en rappelant qu'il a déjà été voté dans un autre texte. Je participerai avec plaisir au travail sur sa réécriture. Cela fait des années que les spécialistes de l'enfance en danger, à commencer par la brigade des mineurs ou la protection judiciaire de la jeunesse, alertent sur ces problématiques et je suis heureuse que le cadre légal évolue. Par ailleurs, je compte sur M. Adrien Taquet pour que le sujet devienne international, puisque les plateformes ne s'arrêtent évidemment pas aux frontières. Le texte ne contient pas de proposition sur les actions d'information à mener auprès des jeunes, mais il est important d'organiser un grand plan de communication sur ces sujets pour mieux leur montrer les dangers du net, qu'ils ne comprennent pas suffisamment bien.