Avec Philippe Gosselin, nous avons conduit ensemble une mission flash sur le régime juridique de l'état d'urgence sanitaire. Nous avons estimé que le Parlement devait pouvoir s'exprimer tous les trois mois sur les mesures restrictives de libertés. Si nous comptons les mois ouvrés pour le Parlement – juin, juillet, septembre –, cela nous mène au 30 septembre.