Celui qui est mis en examen dans une affaire criminelle a accès à son dossier. Dans une affaire financière, il apprend des nouvelles de son dossier dans la presse car on a donné des procès-verbaux à des journalistes, qui feuilletonnent avec. Sur le plan des droits de l'homme, cette situation est intenable. C'est la philosophie de ce texte. Si vous voulez parler d'enquêtes officieuses, comme cela se pratiquait avant 1959, nous pouvons le faire.