Nous avons voté la contrainte pénale et nous n'avons cessé, depuis 2012, de travailler à la fin des sorties sèches ; en outre, à propos de l'état d'urgence sanitaire, j'ai défendu la possibilité pour le juge de l'application des peines de libérer des détenus dès six mois avant la fin de la peine. Je suis donc en parfaite cohérence avec ce que j'ai toujours défendu.
Trois ou six mois, cela ne fait pas une grande différence. Permettre au juge de l'application des peines d'étudier la possibilité de la libération sous contrainte à six mois de la fin de peine contribuera à réguler la population carcérale et à préparer les libérations.