C'est normal : nous avons sollicité les personnes les plus susceptibles d'éclairer et de nourrir notre réflexion ! J'ai acquis la conviction qu'il fallait aller vers une spécialisation. Les services de la Chancellerie ont déjà quelques pistes de réflexion. Cependant, nous n'avons pas encore achevé notre réflexion, qui évolue, et nous souhaitons poursuivre ce travail avec vous. Nous ferons une proposition précise sur ce sujet.
J'ai tout de même une petite requête à vous présenter. De grâce, parlons d'affaires non résolues et non de son équivalent en langue anglaise. L'expression est peut-être ringarde, mais j'essaie de défendre notre langue qui est, depuis l'ordonnance de Villers-Cotterêts, le français.