Je ne peux pas laisser passer les propos de M. Bernalicis. Le garde des Sceaux ne demandait qu'à être convaincu et il a engagé un cycle de concertations : on ne peut pas le lui reprocher ! On ne peut pas dire un jour qu'il consulte trop et déplorer le lendemain qu'il ne consulte pas assez ! Aujourd'hui, le sujet est mûr, et nous pouvons nous réjouir ensemble de cette évolution.