Le CGLPL dispose-t-il, selon vous, des moyens humains et logistiques d'atteindre ses objectifs en termes de contrôles ?
Comment expliquez-vous, ce que dénonce d'ailleurs votre rapport, la désinvolture des ministères par rapport à vos préconisations ? Comment y remédier ?
Le DAP vient d'annoncer qu'il consacrerait des travaux à la question de la violence en détention. Il songeait à la violence des détenus envers les surveillants ou les autres détenus, mais pas à celle qu'exercent les surveillants sur les détenus. Quel regard portez-vous sur ces travaux à venir ? Y serez-vous associée ? Que préconisez-vous pour réduire les violences en détention, quelles qu'elles soient ?
Ma dernière question portera sur les détenus radicalisés ou condamnés pour des faits de terrorisme. Le CGLPL dispose-t-il de suffisamment de recul pour analyser la pertinence et l'efficacité des dispositifs mis en place, tels que les binômes de soutien ou les quartiers de prévention de la radicalisation ?