On nous avait pourtant assuré que le débat ne serait pas bâclé… À chaque fois, j'ai envie d'y croire, mais je suis rattrapé par la réalité !
De deux choses l'une : soit vous ne voulez pas bâcler le débat et il faut au moins faire semblant de répondre à nos questions, soit la mascarade durera jusqu'à cinq ou six heures du matin – car à ce jeu-là, je ne suis pas le moins tenace – et vous assumerez le caractère ubuesque et surréaliste de cette anticipation dans l'urgence.